Ton souffle comme une brise sur mon cou Caresse ma peau tel une plume de velours. Ton regard comme un aigle qui voit tout Se promène sur mon corps et ses contours.
Tes bras comme des tentacules envoûtants Enlacent tout mon être déjà désir de toi. Ta bouche comme un calice invitant Se pose sur mes seins qui sont aux abois.
Ton torse comme un tapis d’orient S’étend pareil au guépard qui a repéré sa proie. Ton ventre tendu comme tout parfait amant M’appelle à venir me soumettre au combat.
Ton, mon ou nos sont devenus inexistant et un Toi, moi ou nous sont parvenus au paroxysme. Toi, moi ou nous n’ont plus rien de commun Ton, mon ou nos sont entré au pays de l’érotisme.