Quand le bourreau est inconnu Quand l’inconnu prend un visage Quand un visage acquiert un nom Quand un nom s’enlaidit de bassesse La victime, même sans réparation, A gagné sa bataille !
Toi le bourreau, tu me verras venir Dans un habit tout en élégance Fière, hautaine et noble et implacable : Dans mes yeux la sentence ! Tu baisseras les tiens, C’est un serment à moi-même.
La campagne aura lieu bientôt… Comme alors, un des deux protagonistes Ignore et la date et l’heure Tandis que l’autre ricane et jouit De la chute imminente de l’ancien vainqueur. La colombe triomphe toujours !
