Sur une mer calme par oublie Je suis un voilier Au coeur fragille comme la soie Le voilier sais que le vide a faim de lui Que une simple vague et il es fini La mer veux l'engloutir Sa vie n'a plus de sens, il es assailit Dans la gorge au crépuscule naissant Surgit du fin fond du néant un tremblement Qui avec toute horreur, toute froideur Révèle un tourbillon noyant ainsi sa détresse L'être de son coeur hurle la détresse D'un amour noyer de tristesse Sans regret il bascule Dans son dos des ailes embrassent le vent