Ses yeux sont les cruels reflets de mes désirs Toujours là, pour hanter mes jours sombres. Où puis-je m'échapper? Où puis-je m'enfuir? Mes souvenirs sont en grand nombre.
C'est assez ! Je veux m'en aller de l'autre côté ! Constamment, je suis affligée, Par le sens dans lequel je regarde. Je vois leurs mains, Que je ne veux plus toucher.
Mon amour ne fut qu'une sombre vague, Un désir qui m'alluma et m'éteignit aussitôt. C'était le piège de la rivière qui coule trop vite, Telles des larmes au fondement trop émotif.
C'est assez ! Je veux m'en aller de l'autre côté ! Constamment, je suis affligée, Par le sens dans lequel je regarde. Je vois leur mains, Que je ne veux plus toucher, Car elles me semblent brutales, Indignes de ma personne sentimentale. Je ne puis plus rien regarder, Tout est souvenir du triste passé. Je veux m'en aller de l'autre côté !
