Tu es désormais, nouvelle réalité Je ne t'espérais pas, j'ai voulu t'oublier Et te revoilà dans toute ta puissance Ô l'amour, quand cessera donc ton offense?
J'ai déjà trop pleuré, pour toi J'ai déjà trop espéré, pour toi Et te revoilà dans toute ta puissance Ô l'amour quand cessera donc ton offense?
Je suis soumise à ta main de fer Froide et pourtant douce, que de misère Ô amour, ta présence me fait mal Et tant bien, ta présence est paradoxale.