Des années de rires, des années de pleurs, Mais toujours un perpétuel bonheur, Celui qui inspirait notre respect, Envers toi, celle que l'on ne peut qu'aimer.
Mais quand le préjudice fut venu, L'épais crachin qui mouille ton esprit nu, Et la source de ta relégation, A occulté, sans regret, ta raison.
Aujourd'hui, le vent peut te dissiper Le voile soustrayant ton humanité, Pour laisser paraître une vie semblable Ou presque à celle de la vie préalable.