Tu n'as jamais connu une paisible vieillesse, ta vie tu l'as tracée, en suivant tes idées. Hier, sans bruit , et dans l'oubli de tes actes, le souffle de ta voix s'est éteint à jamais.
Tu ne demandais rien, juste plus de justice, dans ton coeur tu n'avais, qu'amour à partager. Mais usé, las, fatigué, tes rêves s'amenuisent, et paraissent perdus, dans un monde saccagé.
On se parlait si peu, un regret à jamais. Pourtant nos vies étaient unies d'un lien si puissant, je garderais de toi, l'image de l'amour et l'espérance. Et ton doux souvenir me manque éperdument..