Jeunes filles à la peau de pêche, fraîches… Jolis petits abricots gonflés de jus brûlants, Vers lesquels je me désaltère, respectueux, Recueilli au paroxysme de la Mère du monde.
Le Soleil chauffe mon torse nu Et la tête !!! Elle bouillonne…
Cordialement, je revendique ma lubrique pureté, En un millier d’éclairs aveuglants, Sur les courbes femelles, éclosent et humides.
Je perds mon âme ? Ces moments intimes et voyeurs, Tout juste dans l’angle de l’écliptique Rendent ces moments bibliques…