C’est une gène De mirer les bassesses de mon être Que peut-il faure face à la beauté immaculée, de ces vertus Celle-ci nargue mon âme emplie D’une médiocrité affligeante et rampante
Mes doigts goudronnés et nicotiniques A mes poumons irrémédiablement goudronnés Tétée… Cri primal et sécure Puis, ces angoisses, absurde compagne… Affliction, une engeance…
Une plaquette ingurgitée avidement Anxio, benzo à grands coups de machette Pourfendant cette masse gélatineuse et veineuse De ma cervelle…
Crever les yeux grands ouverts Sur le vide de mon existence.
J’emmerde Samsara et sa roue de loterie, La loi du Karma, ainsi soit-il… Juste pour l’intégrité de ma révolte viscérale J’veux bien m’retrouver changé en Bonzaï
Un simple avorton cosmique Qui vous ignore sèchement… Perdu dans une multitude.
L’ombre de la croix ? Ou bien L’implacable « ça » On se fout de nous ! Passionnément… Cette peur du vide, vide, vide…