Il se peint sur le chemin menant vers les cieux Des reflets de rose, de blanc caressant les yeux Prise par la chaleur du soleil, l'âme se fait tienne Le temps d'un souffle nourrit par le vent de plaine
Il se peint sur la toile des mots à demi-dévoilés Des couleurs qui battent aux portes de l'âme affolée Prise par la force d'un tourbillon de la pensée enivrante Ne cessant de croître en la demeure de l'âme en attente