Ô toi qui autour de mes pensées dansent Toi qui à moi la route du vent me relance Je ne cesse de te compter chaque jours parmi mes souvenirs Tu rappels à moi toutes tes présences que je ne cesse de lir
Ô toi qui sans cesse parcours mon chemin Je t'imagines à mes côtés chaque matin Je ne cesse de vouloir boire de ton vin Qui enivre mes douces envies sans fin
Ô toi quand cesseras-tu de troubler mon esprit Toi qui habites sans cesse mes jours et mes nuits Sans que ma raison ne puisse reprendre son trône Tu restes le gouvernant d'un royaume sans couronne