Des parfums interdits, Des soleils éclatés, Une ombre et puis des cris, Ma tête a implosé.
Dix-mille particules d'un masque souriant, S'envolent... puis s'écrasent. J'implore la terre, la lune et puis le vent, De tourner plus encore que jamais ne se tassent.
Mes yeux demeurent encore, Le crâne découvert, Trop plein de ce décor, Qui jamais ne se perd.
Je t'ai perdue ma soeur, Toi qui leur suffisait, Mais toi qui m'achevais, Et as figé mes heures...
Etre!!! Etre soi... être à soi ! non plus Celle qui leur plaît, non plus celle qui paraît ! Mais qui suis-je désormais ? Car jamais je ne fus ....