J’ai le souvenir d’un baiser divin du mois d’août, où brusquement vous vous retirâtes de mes lèvres, abaissant votre tête vers ma poitrine. Inquiet, je vous questionnai « 𝐭𝐨𝐮𝐭 𝐯𝐚 𝐛𝐢𝐞𝐧 ? », et vous relevâtes votre tête, les yeux pétillants aussi vite que le champagne, prononçant ces mots : « 𝐯𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐜𝐨𝐞𝐮𝐫, 𝐢𝐥 𝐛𝐚𝐭 𝐬𝐢 𝐯𝐢𝐭𝐞. », auxquels je répondis simplement « 𝐩𝐚𝐫𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐣𝐞 𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐚𝐢𝐦𝐞. » et à cet instant j’observai vos yeux luire, éclairés de milliers d’étoiles alors que mon coeur battait la chamade.