D’une corde sont reliés votre cœur et le mien, Elle tremble le mien quand le vôtre ne va pas bien. Marchant dans la rue, brusquement blessé j’arrête, Votre corde meurtrie vibrant des pieds à ma tête, Et lorsque je m’en vais et que mon corps s’éloigne, Tirant et s’étirant la douleur vous empoigne.
Puisqu’en se tendant, ses tensions nous emmêlent, Pour qu’à chaque retrouvailles les noeuds se démêlent, Et qu’à nouveau nos coeurs s’unissent et s’entremêlent.