J’aime voir quand tu entre dans mon espace noir, Toi, qui es vorace, velue et noir, J’aime te voir te frotter contre mes jambes, me demandant de J’aime te voir venir chercher ma main et l’amener jusqu’à te Je sais que tu aimes ma tendresse, Que veux-tu d’autre ? Je suis ton pantin, Ô ma chatte douce et noir, Ô ma chère et mon tendre parloir.