Ma prose : appétence allusive de vieux mâles J’exhibe en punching-ball mes glandes lacrymales Sous les yeux d’ébène de ces moucharabiés Témoins de tant d’amours, hélas embastillés.
C’est là où se produit la finale baroque D’une périlleuse attirance réciproque ! Mais peut-être n’est-ce que l’émanation Du mal qui a frappé ma génération…
Ma poésie, grabat sous squelette mature... A la laide saison, s’invite la culture Des rêves en veille et des fantasmes accrus Des tessons vert-bouteille et des verbes écrus
Qui se mirent aux soleils comme aux lunes des criques Edens de la muse badine des tropiques. C’est à mon sens son feu qui a pu défricher La forêt que tentait mon maquis de cacher...