Amère comme les jours qui passent Vent d'automne qui fait envoler les feuilles Allons-nous rester longtemps seuls, Rage et souffrance se mêlent Et là-bas le rêve se brise se fracasse,
Un temps de désespoir à gout de sel Luciole dans l'obscurité de la nuit ; Yeux cernés par un mal de vie Saison d'automne d'une couleur gris ;
Sous une neige froide, le lac se gèle Et toi là-bas le vide qui n'a rien à faire Qui tourne comme un fauve encagé
Une fois là-bas tu es en paix ; Où la jeunesse et des gens âgés Il monta le train prés du quai.