Dimanche soir Par un mois de Janvier frais et brumeux Un temps pesant Une tour Effeil a moitié invisible (À moitié visible ?) Deux âmes Deux corps Deux esprits Un seul baiser Un regard Une émotion Elle le regarde Il lui sourit Un sourire Un poème Son sourire est un poème qui l’invite Dans un monde merveilleux Son monde Un monde dont on ne sort jamais indemne Un monde éblouissant Rempli de démons Qui feront de ce sourire Une invitation A faire des deux âmes Une seule âme Des deux corps, un seul corps De deux esprits, un seul esprit Des deux tout Un seul infini