Psychés des arts au mont Parnasse, Divinités des Muses aux féminins, Colliers à neufs perles forgés par les asses, Calice harmonique rempli de nectar, de vin,
Beauté calomnieuse aux cheveux d'airain, Ta beauté n'a nulle pareil qu'un sourire , Tant de sensualité dans tous tes parfums Et dans la volupté tes adorables soupirs,
Mes sens s'aiguisent quand les draps S'imprègnent des courbes de ton corps, Regard sublime qui ne peut me rendre las, D'étoffes ornées de pourpre et d'or,
Divine Angelus de ton diadème de cire De la Lune, des astres et des planètes, Digne d'une déesse qu'on ne pourrait salir
Jusqu'aux plus infimes effluves tu halètes, Tes superbes lèvres m'inspirent, Les plus belles visions d'un esthète.