Et le voyageur aux portes de la cité de sable Entonne son chant qui monte son chant le plus beau Or voici que l'envol délicat préside à la rupture et toute magie dès lors Se brise A jamais ? Mais voici que s'exalte une fois de plus Le chant après l'errance et l'oubli Feutré Aussi doux peut-être Que l'étreinte où se perdent les corps épris seulement d'eux-mêmes