Délicates odeurs de rosée, d’embruns sur mes joues déposés Peaux mortes d’une soirée arrosée où des corps posés Sur leurs sièges rosés voyaient nonchalants s’entreposer Des regards qui dévient, ces bouts d’envie qui dans une vie Immortalisent petit à petit ces sourires infinis, Preuve inouïe de la sincérité qui jouit dans ce charivari. Assonances et dissonances pour retrouver confiance En une science, l’espérance, antithèse de la méfiance Qui nous fait offense. Boit le théorème de la patience Et voit fleurir ces ressemblances qui tendrement pansent Ce que pensent les défiances des absences de bon sens. Garde espoir, chasse le noir et dans ton désespoir Aperçois la tendresse du soir, à la fenêtre de ton dortoir Sens qu’il faut y croire juste pour voir Voire revoir ce que dans le noir on a cru apercevoir.