Tu resplendis, comme une étoile tu brilles. La beauté, tu brandis et naturelle, tu scintilles. Ton image s’ajoute à une mélodie, Celle, sage, d’une femme qui malicieusement rit, Enchante mon univers de mots de lumières, Emplit mon cœur d’émotions, pleines de prières. J’ai reçu de toi la gentillesse étrangère Et je suis aujourd’hui rentré dans une étrange ère.
De bas fond à l’essence triste, paralysante, Je vole vers une galaxie, belle, dépaysante, Grâce à toi, qui de ton univers de sourires, Es venue pour ne pas me laisser mourir. Tu tiens ma main et je ne voudrais que tu la lâches Pour rien au monde car à mes douleurs tu m’arraches, Dans une délicatesse foudroyante, quasi irréelle Qui semble dans mon dos faire naître des ailes.