Le soleil s’éteint, Le noir est plein. La rue s’est vidée Les lampadaires se sont illuminés, Mes chaussures j’ai lacées Et mon cahier j’ai attrapé. Le stylo s’est presque vidé Et l’inspiration s’est manifestée. Les galets étaient froids, presque gelés, Le vent était là, fort il soufflait. Les embruns caressaient mes lèvres Et ce monde m’offrait une trêve. Les yeux levés vers le ciel, Les avions se posaient à merveille, Les vagues incessamment s’échouaient Pour repartir laissant des trésors par milliers.
Nice parfois tu me plais Mais au fond je sais Que malgré tes beaux clichés Tu ne vaux pas la peine d’être admirée.