Le temps se joue de nous Et nous terrasse. Il s’enveloppe d’une trompeuse grâce Pour mieux fouetter nos joues. Sang de larmes Pour des êtres que l’on désarme Larmes de sang Pour des êtres devenus absents.
Les peines m’inondent Et remplissent les ondes. Le chemin se fait dur Et désormais n’est plus sûr. Trop d’étourdissantes aventures Dans un air impur. Je tombe dans une chute profonde Et n’aspire qu’à quitter ce monde.