Un jour je t’ai vu Et j’ai cru perdre la vue Aveuglé par tant de beauté De sourires et de bonté. Ton visage a cristallisé mon cœur Et je verse doucement dans une torpeur.
Comment te dire ma souffrance Héritée des sentiment et de leur obédience ? Rien ne me prédisposer à être tel quel Perdu entre des désirs rêvés et réels. Pourtant je le suis, dans le doute absolu, Frappé par la foudre au coin d’un(e) ru(e).
Tes sourires sont un appel à vivre Tes yeux sont ce qui me rend ivre Et je ne peux guère te résister Plus longtemps, plus jamais. Désormais je sens près de toi Des firmaments d’inattendue joie.