Sus à ce monstre qui vomit la civilisation, Dont les idées se répandent tel un poison ! Il doit mourir, périr, au nom de la loi De ce doux pays que j'appelle chez moi
Il est mort, l'ennemi de l'humanité ! Lui et ses semblables ont été massacrés ! Nous voilà débarrassés de cette engeance En ce magnifique jour de vengeance.
Mais peut-être est-il encore en vie, Lui dont le cœur reste rempli de barbarie... Je me penche, et croise ce regard qui est le sien, Et je recule, effrayé: ce visage est le mien.