Tandis que viens à moi, verte, la maladie Je consume en silence mes énergies restantes Fumer, fêter, sentir tes haleurs éclatantes Jouer, frémir, ruiner mes paradis anciens Ca fuse chaque jour de pactes libertins Et doucement je hume à leurs flammes infinies
Je marches sur les joies qui troublaient l'horizon D'autrefois. Chaude brume précédant l'agonie Mon coeur va s'arrêter sous la sinistre orgie Sublimant mon destin stoppé par le poison