M’amour je dois te le dire : J’ai maitresse de l’Afrique De ses plaines de son ire, De tous ses arts ésotériques.
Dans les jeux de cette ville blanche, Je n’ai eu vie que d’espoirs D’être une ombre sous les branches D’un baobab au noir miroir.
M’amour tu me quitteras de ton dédain, Et loin de moi de te voir me souffrir, J’irais le Nil et du lac Victoria le dessein Vivre ma mort aux blancs sourires.