C’est la prose à ma vie que de connaitre chacun, D’une humanité qui va qui vient, Qui dans l’injustice se creuse, Qui rend la mort heureuse.
Il est vrai qu’il fut des grands hommes Donnant le goût a chacun, Mais il est des vers dans les pommes Qui condamnent les humains.
Bien sûr on pourrait croire Qu’il y a justice chaque matins, Mais quand juge a tort ou ne veut voir Il scelle de tous le destin. Les étoiles sont ainsi faites Qui verront ma mort à la terre Et l’oubli deviendra commun A nos vies qui ne surent faire.