Que ne puis-je savoir si sa blancheur Egalait le prés dans le matin fleurissant ? Que ne puis-je la sentir, toujours sans Qu’un murmure ne vienne tourmenter en cette pâle heure ?
Et que l’on vienne rougir Et mordre la lèvre de honte; Ne pouvant l’arrêter sous le gaze des lyres Qui viennent se truffer dans les conques !
Dans une aube qui s’approche, Sa beauté resplendit d’en plus fort. Et voici le myrte, approche en risible renfort Pour la secourir sous l’impudente roche.
Pourquoi détruire ce règne si bon, Quand d’aucuns ne sauraient se plaindre De la splendeur des tons ? Le rêve ne peut geindre…