Le majestueux empereur du ciel entame sa descente, Les feuilles, une dernière fois s’agitent, avant de tomber. Comme Rome et Constantinople, la chute sera lente. La mélancolie des Hommes les entraînent aux extrémités
Après les parfums de l’été et les chants des cigales, Peu à peu, la nature s’endort et des parfums apparaissent. Peu à peu, le vent glacial chante Entre les arbres dénudés mais en liessent.
On amorce la vie chancelante des Etres, Qui vont nourrir la Terre. Une Terre hélas ! traître, Mais notre mère saura nous le rendre.