L’amour est un bouquet de friandise Baisers volés aux caresses du temps Douceur des souvenirs dont l’émotion demeure Femme glamour Ton corps pour l’homme est illusion. Lorsque la jalousie distille son venin Roi du Kama sutra sans soif il boit tes larmes Alors que tu minaudes pour noyer ta fureur Et retenir l’odeur de sa peau qui te hante. Parler de tout, de rien, éviter l’essentiel Choisir les qualités que tant de défauts masquent Visages à découvert mais regards qui se fuient Tu susurres tes rêves en silence aux draps. Tente de retenir les heures à l’horloge Puisqu’il les utilise à clamer son ardeur Mais vois que tout s’étiole, Que l’illusion se meurt. Tu es sa fleur fanée dans le vase d’un soir. Evite de noyer dans le xérès ta peine Il se moque pas mal de toi et de ton moi Ses yeux sont le reflet de son âme nombril Tu n’es que friandise, Son miel Son zakouski.