Trop présente, trop collante je la veux infidèle. Elle reste en moi pour jouer d’une âme en débris Qui sur un long chemin restera sans-abri. Elle se veut maîtresse impossible à répudier, Présence voulue, en rêvant de la congédier. Je la désire, mais je la défie et la crains, Elle m’envahit me cerne m’impose et contraint. Toujours elle se donne, tendre vulgaire et catin, Encore moi je la veux, mais je pleure mon destin. Elle sait être maîtresse douce et cruelle à vomir, Gaffe, elle peut cette catin par hasard vous choisir Mais laborieux il serra de vous dessaisir…