Toujours là, compagnon fidèle du temps qui passe, Il se découvre, s’apprend, s’écoute, et embrasse. Il se donne à tout moment aimante maîtresse, Pour comme elle en mon âme devenir la prêtresse. Pourtant bavard en moi-même il se découvre, La nature m’aide, mon cœur enfin LE recouvre. Silence c’est LUI, encore faut-il le faire pour l’ouïr, Douceur au cœur et pouvoir enfin me réjouir.