Un arbre à la fenêtre, sa journée semble grise, Des racines certitudes mais la tête insoumise. À son image, laisser couler le temps du jour, Pour retrouver calme et sérénité toujours. Pareil à lui être grandiose une heure seulement, Tout mon être en union pour un apaisement. Accepter aussi bien un zéphyr comme caresse, Que l’agression d’une froidure avec tendresse. Un printemps salvateur gorgera mes racines, Devenir l’homme vivifié dont le cœur fascine. Merci à LUI…