Ne pas savoir demain pour mieux vivre le présent Et jouir d’un optimisme au cœur omniprésent.
Voilà bien un don du ciel qui nous anoblit, Pouvoir alors un Amour qui ne peut l’oubli. Les larmes sont effacées, il faut tourner la page, Une nouvelle aurore pour une palpitation sage. Reste en moi l’ineffaçable goût de demain, Toujours espérer ce sentiment surhumain. À ce feu préservé, elle reviendra aimer. N’est-elle pas le souffle qui peut le réanimer ?
Ne pas savoir demain pour mieux vivre le présent Et jouir d’un optimisme au cœur omniprésent.