Où es-tu, toi que j'attends, te disant des mots tendres, Et te parlant de choses que tu ne connais pas, De ces jolis instants d'une vie à apprendre Le désir de poursuivre, sans faire trop de faux-pas ?
J'ai un besoin intense de t'adorer ce soir, Tellement envie de toi, et encore, et toujours; Je dessine ton visage dans le coeur du ciel noir, Et je meurs de ton corps magnifié par l'amour.
J'ai rouvert les persiennes et je te déshabille, La pluie sur les carreaux résonne faiblement; J'aime tes yeux noisette, ta bouche de petite fille,
La plage de ton ventre où j'ai posé ma joue; Ah ton regard complice ! - oh oui, passionnément ! - Et la passion m'égare, je t'aime comme un fou.