Complexe chair offerte à la virilité, Urne si profonde et douce où dort la joie, Toi que l’amour renverse, toi, l’innocente proie, Chair de la douleur où vit notre pérennité,
Femme qui prend autre vie au soir où ta jeunesse Épouse et ne vit que pour des accords conclus, Te débattant, devenant passé qu’on ne voit plus, Dans le noir, destin de ton être en détresse.
Humanité forte, endurante moitié, Du monde, amie éternelle et suprême Beauté, qui donc te dira que si fort : je t’aime D’un cœur si gros, si plein, débordant d’amour ?