Tous les ruisseaux du ciel Mangent les nuages Et courent après le mirage des lumières. La mer s’étonne de tant de couleurs Couchées sur les nattes de sable. La robe des collines Tourne au rythme des parfums d’aubépine. Le vent se cache pour mieux Soutenir le corps des roses malgré Les douleurs de l’automne.