Encore un de ces jours où le ciel Déguise ses contours en bourrelets d’ennui. Le peuple des nuits titube aux quatre coins Des caniveaux. Le soleil a pris sa retraite au fond des caves. Les odeurs de coït ont rejoint celle des vapeurs des centrales, longtemps abandonnées à leurs besognes. Voici qu’une rose se mêle aux couleurs des vitraux de sainteté Là où seul respire le cœur des espérances bercées d’un reste d’humanité.