Partirions nous (si tu me suis vivre) Vers des hasards de nécessité La tu verrais comme les rues se rejoignent Comme les vérités se recoupent sous les portiques Et les facades ,de nouveau si clair et lumineuses, Nous laisseraient nous apercevoir
Au travers
Il me semble maintenant ,continuellement Voir des volets grandissants Es tu morte au coin de cet ancien couloir Et les corridors ont il définitivement gagné des murs Il a suffit de me retourner ,une derniere fois, Pour comprendre notre immobilité
Au travers et contre
Toi tu ne bouges pas ,ni part ni vas , Et restes ici ;conventionnellement Sans errer; sans pleurer;sans crier... (aucun drame pour toi ne s'est joué)