Tu n’es le soleil ou la lune Qui j’aurai peur qu’ils ‘éteindraient Comme tant d’Illustres qui se sont éteints Sans réapparaitre tous les lendemains Ou se succèdent les saisons
Tu n’es pas ces mers douces ou salées Qui risqueraient de s’évaporer Pour que tout ce monde marin suffoquerait
Tu es vaniteux Qui se mesure aux Grandeurs Pourtant se noie dans son orgueil Et s’égare dans la forêt des omis Tu es venu dans la pureté de la naturel Tes impuretés t’emporteront
Homme Tu t’es laissé, dans tes plaisirs, envouté Les mirages t’ont emporté Là où tu n’auras aucune adresse Plus de rivages , plus de soleil et plus lune.