Sur l'airée comme tous les soirs des étés Au crépuscule, au levé des premiers fontomes Quand le diable des femmes fourbit ses armes quand le cahos du troupeau se mèle aux ratés ............. M'étirant sur le chaume couvrant le blé Je vois une image aux déboulés des larmes Se balançant entre l'oeil et ses faibles armes