Un oiseau sursaute sur les faites des cedres Ivre Regarde le ciel comme un coup de foudre De grosses mouches suçant le lait du figuier Qui instaurent aux coins des levres leur fumier
Une route serpente et joint les pieds des Contes Traverse comme un ver les lagunes de fiente Et met sur seins un drap de ciel Le sein pue et pousse à tous les firments de fiel