L’amertume Tue la mer Tu me tues Tu es l’amer Mais tu m’épiais Tu m’as tuméfié Fini l’amour face à la guerre Trop de discours Même les œillets en déblatèrent Tu m’as ! Tu es La source de mes artères Mais où es tu ? C’est un mystère Sous le tumulte De la mer Tu mues, tueuse Face aux embruns de notre terre Qui est aux cieux ? Sous mes idées tumultueuses Qui se cache dans mes aveux ?