Ce qui m’a donné le souffle d’espoir, De m’accrocher aux branches de la vie, Ce qui m’a encouragé de quitter ce nuage noir, Et de réintégrer les appétences de mes envies, Ce n’est pas cette succession d’échecs que j’ai consenti, Ni la déception d’un amour fortuit,
C’est une larme voyageant autour de ton visage, Larme plus moite que la pluie, Exilant dans un ciel usurpé de nuages, Ne distinguant plus ses fantômes des nuits, Cette larme si fragile et sage, S’envolant du fond de ton cœur toi ma fille,
M’a confié un rôle de découvrir l’espoir, Quelque soit les gaucheries des intempéries, L’essentiel c’est que je dois bien prévoir, Le cheminement de ton innocente vie, Et d’oublier ce terrible cauchemar Qui a provoqué les douleurs de tes cris !