Le temps de ma concentration, Sur mes passions, C’est le soir dans un noir, Je découvre ton poème dans un tiroir Je découvre mon âme Qui réclame, L’espoir d’aimer et de revoir, Ton ombre, une réalité Ton image, une sincérité Tes sentiments, une sécurité Et de revoir et voir, Ton cœur qui bat en silence, Sans fatigue, sans souffrance, Sans ondes ni vibrations, Sans attirer les attentions, Et les réflexions des ignorants, Qui confondent le corps et l’âme, L’homme et la femme, Qui n’ont aucun savoir vivre, Dans leur petit monde sont ivres Absents des actualités De notre amour, de notre véracité Ton ombre est une réalité !