J'amoncelle les vers pour qu'ils rongent ma peine Comme ils savent le faire au cadavre sous terre. C'est une catin strophe et vous pûtes sans peine Arracher ses habits et les jeter par terre.
Le vers dans la peau aime éroder le squelette De la douleur féroce à l'instinct carnassier. Tout ce que la peau strophe aussitôt obsolète Est le reflet précis de la vie qui me sied.