Le prophète a parlé Du haut du septième ciel, Sa larme sainte A rejoint les pleurs du monde. Hommes de peu de foi Comment croire sans feindre Qu’un dessin puisse m’atteindre ! Il est peut être un sang nécessaire Mais pas pour l’être ne blessant que le papier ! Ne vous effrayez plus de la main vagabonde, Choyez le cerveau qui la commande ! Oubliez les temps lointains Des lendemains incertains ! Vous vivez un autre temps de l’histoire, Ne le soustrayez pas à ma gloire ! Le glaive a jadis assez parlé, Faites se lever l’esprit ! Que les plaies de l’âme Ne transpercent plus jamais les cœurs ! Abordez demain sous un jour nouveau, N’oubliez plus jamais ma dernière parole :