Tu ne chantes plus dans ma maison Veuve sans larmes et silencieuse Tu ne chantes plus dans ma maison Pourtant ton chant m'obsède encore J'ai vu la mort rogner tes ailes Et dans ta lente agonie Imprimée dans mes yeux J'ai conçu tout à coup Et senti La grandeur de mon néant Tu ne chantes plus dans ma maison On t'a jeté par la fenêtre Là où un soleil maladif Désormais Chauffe tes plumes inutilement